En août je vais devoir à nouveau chercher la présence de tous les oiseaux comme pour juillet.

3 héron pourpré.

Lorsqu'en 1994 j'ai commencé à faire des observations pour la Saligue, je ne mentionnais que les oiseaux d'eau sur le marais, et je ne prêtais guère attention aux divers passereaux, sauf ceux que je voyais aux alentours et proche du plan d'eau.

J'ai donc rassemblé mes observations en l'état à partir d'avril 2019 et je cherche maintenant à combler les manques en cherchant leur présence dans le parc soit par l'écoute où l'observation, ce qui n'est pas une mince affaire.

La Fédération des chasseurs qui est propriétaire et gestionnaire du marais, m'a donné accès aux notes de terrain de Nicole Badetz et de son équipe, ainsi la présente liste des oiseaux observés et quasi complète. 

Le but recherché est de prouver la présence mensuelle des oiseaux sur le marais afin d'y établir une gestion équilibré pour préserver et accroître la diversité biologique du milieu.

Suivi ornithologique, la liste des anatidés.

Encore une journée pour espérer voir le fuligule morillon en juillet.

La reproduction est prouvé uniquement pour le canard colvert. 

Canard colvert.

Canard colvert

Pour le chipeau, souchet, sarcelle d'hiver, fuligule milouin, se sont des individus non reproducteur qui stationnent sur le marais.

 Héron gardeboeuf.

Crabier chevelu.

Comprendre et interpréter un suivi ornithologique.

Je pense qu'il s'agit d'une belette.

La présence d'un oiseau toute l'année dans un même milieu ne veut pas forcément dire qu'il est sédentaire et nicheur. 
Sur ce tableau, c'est le cas de la grande aigrette, les individus qui stationnent sur le marais ont tous le bec jaune, ce qui veut dire qu'il s'agit d'oiseaux immatures ou non reproducteurs.
Ce fut le cas du flamand rose qui séjourné plus d'un an sur le marais. 
Certains oiseaux sont nicheurs sur le marais, d'autres le sont sur un plan d'eau très proche.

Nicheur sur le marais: (réserve d'oiseaux) 
Grèbe castagneux 
Grèbe huppé
Cygne tuberculé
Oie cendré
Bernache du Canada

Nicheur sur les îles du lac: (Parc de loisir)
Grand cormoran
Bihoreau gris
Héron gardeboeuf
Aigrette garzette
héron cendré

Possible nicheur:
Crabier chevelu
Héron pourpré

La grande aigrette est enfin arrivé pour y passer l'hiver.

Elle est maintenant présente tous les mois de l'année sur le marais de la saligue aux oiseaux. 
Il manquait le mois de juillet, un doute subsiste pour le mois de juin, car ce n'est pas mon observation. 

Plus: 1 chevalier culblanc, 2 cigogne blanche, 1 buse variable, 1 milouin, 79 foulque.

Les premiers limicoles (deux Chevalier sylvain en migration ) au marais de Biron.

 Crabier chevelu

 Chevalier sylvain 

Plus 3 vanneau, 9 castagneux, 1 aigle botté phase sombre, 2 chevalier sylvain. 
(Chant: 1 pic vert, 1 loriot, 1 verdier.) 

Deux des trois cigognes blanches au marais de Biron, la saligue aux oiseaux.

Je n'ai toujours pas observé le retour: 

des sarcelles d'été, 

des grandes aigrettes, 

des fuligules morillons, 

des guifettes.

Les deux cigognes blanches continuent leur étape sur le marais de Biron.

Le critère d'identification chez l'aigle botté notamment chez le phase sombre.
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Autres observations: 1 busard des roseaux, 1 buse variable, 2 vanneau, 1 guignette, 2 petit gravelot, (martinet noir, hirondelle de fenêtre) 

Toujours les deux cigognes blanches.

Plus: 2 buses variables, 1 milan noir, 1 aigle botté phase sombre, 1 chevalier culblanc, (chant de loriot et tourterelle des bois).

 Sympetrum fonscolombii.

Sympetrum est un genre dans la famille des Libellulidae appartenant au sous-ordre des anisoptères dans l'ordre des odonates. 

Il comprend soixante-trois espèces. 

voici la liste pour le marais de Biron "La saligue aux oiseaux".

Liste des Odonates du marais de Biron.

(La Saligue aux oiseaux).

Par : David Delmas

Crocothemis erythraea

Tritemis annulata

Orthetrum albistylum

Orthetrum caerulescens

Orthetrum cancellatum

Anax imperator

Hemianax ephippiger

Sympetrum fonscolombii

Sympetrum striolatum

Sympetrum vulgatum

Libellula fulva

Libellula quadrimaculata

Aeshna mixta

Gomphus pulchellus

Calopterys xanthostoma

Calopteryx virgo

Ischnura elegans

Enallagma cyathigerum

Erythromma viridulum

Ceriagrion tenellum

Lestes viridis

Plactynemis latipes

Plactynemis pennipes

Coenagrion puella

Ischnura pumilio

Onyghogomphus forcipatus

(David est animateur et technicien à la fédé) 

Sur le suivi ornithologique du marais de Biron, "La Saligue aux Oiseaux". 2 rajouts mensuels de plus.

Le gobemouche gris.

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Comprendre le tableau, il est mensuel de 1984 à nos jours. 

Toujours les cigognes blanches

Trois cigognes blanches sur le marais de Biron.

La cigogne blanche stationne régulièrement sur le marais et quasi toujours au même endroit vers le fond, là ou l'endroit est le plus discret.  

Crabier chevelu

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Plus, 1 chevalier culblanc, 1 épervier d'Europe, 1 martin pêcheur, 1 vanneau. 

L'absence des données de la buse, bondrée, épervier et crécerelle est dû à ce qu'avant avril 2019, je ne notais pas toute mes observations de terrain. 

Migration des cigognes blanches, est-ce les mêmes qui circulent ou bien d'autres oiseaux ?

Une tortue de Floride sur fond de grande jussie, tous deux sont des espèces et plantes invasives qui colonisent de nombreux plans d'eau du Béarn.

Ref: http://www.conservation-nature.fr/Trachemys_scripta_elegans.html

La Tortue de Floride (Trachemys scripta elegans) est un reptile de la famille des Emydidae. La dossière est bombée, et souvent brun olive avec quelques marques de couleur et le plastron est jaune. Cette espèce se distingue des autres tortues aquatiques dites de Floride par une particularité facilement reconnaissable qui est leurs deux tempes rouges. Ses pattes sont aplaties et palmées. Les griffes de la patte avant sont plus courtes chez la femelle que chez le mâle. La queue est grosse et plus longue chez le mâle que chez la femelle. 

Taille : jusqu’à 25 cm
Poids : jusqu’à 2,5 kg 

Biologie

Ecologie

La Tortue de Floride est essentiellement aquatique. Elle affectionne les étangs et les rivières à courant lent, plutôt riche en végétation, où elle se thermorégule au soleil dès le printemps sur un support émergé. 

Comportement

Les tortues hivernant en étang, hibernent au fond de l'eau enfouies dans la vase. La consommation d'oxygène des tortues en léthargie est très réduite. Un échange gazeux au niveau du rectum, des parois du larynx fortement vascularisées et de la peau permettra aux tortues en léthargie de survivre pendant l'hivernation. 

Reproduction

La saison de reproduction commence entre mars et juin avec les accouplements.
La femelle pond généralement une vingtaine d’œufs qu’elle va déposer dans un trou de plusieurs centimètres de profondeur (généralement entre 2 et 10 cm) sur une plage sablonneuse et ensoleillée. Comme d’autres espèces de tortues, elle est capable d’effectuer plusieurs pontes par an et de conserver du sperme du mâle pour l’utiliser les années suivantes. La période d’incubation des œufs dure 8 à 10 semaines. Les petits sont attirés par le milieu aquatique dès la sortie de l’œuf. Elle peut se reproduire en moyenne dès l’âge de 4/5 ans. 

Régime alimentaire

La Tortue de Floride est carnivore dans les premières années de sa vie. Puis au fur et à mesure, elle complète son alimentation de végétaux et devient omnivore. Son régime alimentaire est ainsi composé d’insectes aquatiques, de poissons, de crevettes, de charognes mais aussi de plantes aquatiques, de lentilles d’eau et d’autres végétaux comme des feuilles de salade. 

Répartition géographique - Evolution et état des populations

Cette espèce est originaire de la vallée du Mississipi, de l’Illinois jusqu’au golfe du Mexique, au centre des Etats Unis. Elle fut introduite sur le territoire français dès 1981, vendue dans les animaleries puis relâchée par les propriétaires lassés de l’animal dans les rivières, les étangs, les mares… Les très bonnes capacités d’adaptation de la Tortue de Floride aux conditions locales ont permis à un grand nombre d’individus de survivre et de coloniser quasiment tous les milieux d’eau douce en France. Elle est maintenant présente dans tous les départements métropolitains. Il n’est toutefois pas possible de déterminer les effectifs de tortues de Floride vivant à l’état sauvage. 

Statut

Règlement communautaire CITES : Annexe B
Convention de Berne : Annexe III

Vol migratoire d'une cigogne, elle a poursuivi sa route sans se poser sur le marais.

 Elle est passée en vol sans se poser sur le marais.

Deux cigognes blanches aux marais de Biron, (La Saligue aux Oiseaux).

 Cette observation complète le mois de juillet manquant. 

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Une belette, elle se cache sous la barque.

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La tortue de Floride se reproduit au marais de Biron.

Rajout dans la liste des oiseaux observés, le chevalier aboyeur.

Chevalier aboyeur, Tringa nebularia