Ref: Le grand livre des oiseaux de France et d'Europe, 1977, Fernand Nathan.
Les Goélands bruns et les goélands argentés sont parents. La distribution de ceux-ci se situe à l'ouest de l'Arctique et elle y rencontre celle du goéland brun, ce qui donne des variétés sombres. Les deux ne pourraient donc qu'être les extrêmes d'une seule espèce maintenant leurs caractères de part et d'autre d'une zone de croisement.
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Ref: Guide encyclopédique des oiseaux du Paléarctique occidental, 1998, Nathan.
Curieusement, ne s'hybride que très rarement avec le goéland argenté alors qu'ils nichent tous les deux souvent dans de vaste colonies mixtes.
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Ref: Atlas des oiseaux de France en Hiver, 1991, Société ornithologique de France.
Le premier cas d'hivernage observé en région parisienne (1978-1979) fut l'occasion de faire quelques remarques sur les modalités des séjours continentaux de cette espèce marine.
L'espèce est régulièrement observé en France sur l'ensemble du littoral atlantique et localement jusqu'à une centaine de kilomètres à l'intérieur des terres.
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Ref: Histoire des oiseaux d'Europe, 1971, Bordas
La systématique de ces goélands est sujette à discussion entre spécialistes. Certains jugent que le Goéland brun est seul d'origine européenne et ils lui rattachent les goélands à manteau gris mais ayant aussi des pattes jaunes. L. a michaellis, de Méditerranée et L. a omissus de Scandinavie tandis que les L. a argentatus type de l'Atlantique, à pattes roses, serait d'origine américaine. D'autres accordent une influence déterminante à la couleur du manteau en s'appuyant sur le fait que tous les goélands gris sont surtout sédentaires tandis que les goélands typiques sont migrateurs en hiver.
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Le faucon crécerelle; présence pour le mois de janvier.
Faucon crécerelle.
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