Blog des observations ornithologiques avec un intérêt particulier pour la saligue du lac d'Artix que je visite depuis l'année 1984. (2) et depuis 1996 du lac collinaire d'Ayguelongue, lorsqu'il est puisé, il devient une vasière, il attire de très nombreux limicoles. (3) suivre la migration à Ciboure en lisant les bagues des goélands et observant la migration en piémont sur le plateau de Buzy
vendredi 31 janvier 2020
La liste des oiseaux à observer pour le mois de février 2020.
jeudi 30 janvier 2020
Canard colvert: Les couples se forment sur les lieux d'hivernage en hiver pour le printemps.
mercredi 29 janvier 2020
Le Vautour fauve dans les Pyrénées. l'aberration du nourrissage artificiel.
Pourquoi
les vautours fauves
sont-ils
de plus en plus nombreux
et pour
quelle raison ?
Son
histoire et la réalité sur le terrain
du
nourrissage à la dépendance.
Par
Andréas Guyot.
Présentation :
Toutes les personnes qui randonnent en montagne, ont le désir de voir dans le ciel un aigle, car cet oiseau symbolise à lui seul le rapace des hautes altitudes. Mais dans les Pyrénées, le rapace que l’on observe le plus souvent est un vautour fauve, Gyps fulvus, et plus rarement un autre de la même famille, tel le gypaète barbu ou le percnoptère d’Égypte. Si l’Aigle royal est réellement un animal sauvage, le vautour fauve est devenu un oiseau assisté du point de vu alimentaire puisqu’il est complétement dépendant des carcasses issues de l’élevage déposées sur les charniers pour les humains. Mon étude va vous présenter toutes les contradictions de ce type de pratique : nourrir les vautours fauves. La situation est devenue ingérable car ils ne peuvent même plus trouver de la nourriture individuellement dans la nature, tellement ils sont nombreux, pour une biomasse disponible in natura. Une autre conséquence, ils deviennent dépendants de notre nourriture, donc revenir à une éthique et un inné, en fermant toutes les placettes d’équarrissages naturelles, afin de décroître la population des vautours fauves.
Pour recevoir l'étude complète 27 pages: andreasguyot@orange.fr
Les deux cigognes blanches sont dans la prairie humide avec les oies cendrées.
mardi 28 janvier 2020
samedi 25 janvier 2020
A la recherche d'autres passereaux dans le parc de la saligue aux oiseaux, mais !!!! ils n'y sont pas.
Sur le marais toujours les 2 cigogne blanche.
vendredi 24 janvier 2020
Les passereaux observés à la saligue aux oiseaux
vendredi 17 janvier 2020
L'écopastoralisme du marais est assuré par les 6 ânes en plus des 5 vaches marines landaises.
jeudi 16 janvier 2020
Le couple de cigogne blanche a franchi une étape de plus à la saligue, il est sur l'aire de nidification
Une série sur la bergeronnette grise.
mardi 14 janvier 2020
Un cormoran pygmé à Carbonne (Haute-Garonne). Je me suis fait le plaisir d'aller le voir.
De Peter Harrison: Adulte nuptial: tête noirâtre, la calotte et les côtés tout piquetés de filoplumes blanches, des aigrettes au front; devient bien brune à filoplumes moins nombreuses à mesure que la pariade progresse. Dessus noir grisâtres lustré de vert et maillé de noir. Dessous noirâtre piqué de filoplumes blanches. Dessus de l'aile: rémiges noirâtres, sus-alaires noir grisâtre lustré de vert et liserées de noir; dessous de l'aile noirâtre. Queue noirâtre.
Adulte internuptial: Comme l'adulte nuptial mais le bec brun à commissure jaunâtre, la tête brun terne, le menton blanc, la gorge et le devant du cou blanc brunâtre, le dessus plus terne et plus brun à liserés pâles, le dessous brun foncé plus ou moins maculé de chamois.
De Georges Dif: En plumage nuptial: tête et cou brun-roux; reste du corps et queue noirs à reflets verdâtres et grisâtres; ici et là, tacheté de blanc; ailes gris soutenu avec plumes bordées de noir; bec brunâtre; pattes noirs. En hiver: perte des taches blanches; tête et cou plus clairs; gorge et haut de la poitrine blanchâtres. Mue complète de juin à octobre; mue partielle de décembre à mars. Jeunes: comme les adultes en hiver mais moins foncés; dessous blanc pâle; bec jaunâtre.
Ref: Les oiseaux de mer d'Europe, Georges Dif, 1982, page 151, édition Arthaud.
Petit cormoran d'Europe du Sud-Est et du Moyen-Orient.
Le cormoran pygmé est originaire du delta du Danube et du Pô, Lagunes des pays des Balkans, des côtes de l'adriatique, des rivages et marais: de la mer noire, de la mer Caspienne, de la mer d'Aral, il est présent en Turquie, au Kurdistan, en Irak à l'embouchure du Tigre et de l'Euphrate.
Il a niché en: Hongrie, Italie, Algérie, Israël.
Il aime l'eau douce voir saumâtre mais pas la mer. Pêche aussi sur de très modestes cours d'eau ou étangs mais jamais en Méditerranée.
Autres Ref:
- Les oiseaux d'Europe, 1994, Lars Jonsson, Nathan.
- Guide encyclopédique des oiseaux du Paléarctique occidental, 1998, Nathan.
Voir: https://www.ornithomedia.com/magazine/analyses/pourquoi-cormoran-pygmee-nichera-surement-jour-france-01485/
lundi 13 janvier 2020
Goéland brun, observation d'une nouvelle espèce pour le marais de Biron.
A propos des canards hybrides, pas facile de si retrouver !!!
Photos: Christine Dublanc.
dimanche 12 janvier 2020
Mésange nonnette et Pic épeiche observés au mois de janvier dans le parc de la saligue aux oiseaux.
samedi 11 janvier 2020
Deux cigognes blanches dans le soleil rasant sur le marais de Biron. (Photo depuis l'affût).
La non pénétration humaine sur le marais et la tranquillité du milieu va peut-être faire qu'elles vont nicher, ce serait un véritable succès.
Ce que je sais des divers couples dans les Pyrénées-Atlantiques, n'est que visuel, en ce sens qu'elles nichent dans les alentours du péage de Sames, et le long de l'Adour sur la route du halage, et à ma connaissance aucun couple ne niche en Béarn.
- Cigogne; le grand livre d'un oiseau symbole, 1992, La nuée bleue.