Quarante
ans d’observation 1984-2024
des
oiseaux sur le lac d’Artix.
et
recherche d’observations antérieures.
Béarn,
Pyrénées-Atlantiques.
Par
Andréas Guyot.
Introduction
Le lac d’Artix est l’une
des zones géographiques qui accueille le plus d’espèces d’oiseaux à l’échelle
du Béarn, que ce soit pour la nidification des ardéidés, l’accueil des
hivernants, pour l’avifaune nicheuse et pour la richesse globale plus
particulièrement pour les oiseaux d’eau.
Cette vaste zone humide
boisée de type ripisylve en plaine est reconnue à divers titres pour sa
biodiversité, le site est classé en espace naturel sensible : ZNIEFF, Natura 2000, et ZICO comme une zone d’importance
communautaire pour les oiseaux, dont je ne connais pas les dates de mise en
application.
Il bénéficie également
d’une protection comme réserve de chasse communale sur l’ensemble de la zone de
nidification. Aujourd’hui la seule chasse autorisée est celle des battues aux
sangliers. Mais la zone fut chassée de 1957 jusqu’au 4/08/966 date de la mise
en réserve de chasse sur une soixantaine d’hectare. En 1971 sa superficie a été
portée à une centaine d’hectares. (Harle & Bail. 1979)
Avant la construction et
la multiplication des lacs collinaires dans les années 1990, les zones humides
dans ce secteur sur le gave de Pau et les saligues en amont du lac d’Artix étaient
rares. La plupart étaient des bras morts dû à la divagation du gave lors des
crues. Le lac d’Artix est une zone artificielle, elle résulte de la
construction, d’un barrage en 1957 sur le gave destiné au refroidissement d’une
centrale thermique EDF, pour l’alimentation en électricité de l’usine Péchiney,
gourmande en électricité (source EDF), et de la nouvelle ville de Mourenx dont
les habitants travaillaient à l’usine de Lacq.
Le lit majeur a été
élargie à 900 mètres, il est canalisé par des palplanches, au fil des ans, le
lac s’est en parti comblé sous l’effet des violentes crues du gave. La vase, le
sable et les bois charriés par les eaux se sont déposés, rehaussant le fond sur
40 ha environ et formant des zones d’eau profonde, et des hauts fonds et des
îles. Ces phénomènes ont conduit à la physionomie actuelle de « delta » où les
îles, les vasières et les chenaux mêlent intimement la saligue au lac, rendant
cet espace difficilement pénétrable. Selon la profondeur de l’eau, différents
types de végétation se développent, herbiers aquatiques, végétation
semi-émergée et diverses très plantes envahissantes, des arbres comme les
saules, aulnes, robiniers. Il est difficile de dissocier le lac d’Artix avec
l’ensemble des saligues en amont de ce dernier. Dans les années 70, il y eu une
vaste roselière à la place de la route qui conduit aujourd’hui à Bésingrand.
Présentation
de la zone d’étude
Le gave de Pau est une
rivière de type torrentielle qui prend sa source au cirque de Gavarnie à plus 2000
mètres d’altitude, et 100 km en amont, à Artix l’altitude n’est plus que de 110
mètres. A l’origine en 1957, le plan d’eau était sans aucune végétation. Les observations
ornithologiques ne peuvent et ne pouvaient se faire que derrière les
palplanches, Les crues successives ont créé des îlots sableux et la végétation
des ligneux se sont développés. Il est maintenant quasi impossible et dangereux
de pénétrer dans le delta à pied à cause de la vase et des très nombreux
embâcles, et outre que la navigation y est interdite par décret préfectoral. Lorsque
l’on est derrière les palplanches nous sommes face à 3 bras du gave parallèles
et perpendiculaire à la zone d’observation, ce qui laisse penser à une forme de
delta. Entre les bras du gave, c’est principalement une aulnaie saulaie avec d’autres
variétés que je ne connais pas. Le milieu est très dense et impénétrable avec
de très nombreux robinier faux acacia (Robinia
pseudoacaria), d’une superficie aux alentours de cinquantaine d’hectare,
qui n’a jamais été exploitée depuis sa création. Coté Artix un chemin longe des
palplanches où un dernier bras du gave coule en douceur, au milieu d’un
boisement non exploité non plus et qui ne l’a jamais été, les arbres
s’enchevêtrent les uns dans les autres. C’est la dernière zone d’observation
possible avec une petite pièce d’eau où les cistudes d’Europe (Emys orbicularis), ont élues domicile.
Quasi toutes les observations ornithologiques durant ses quarante années ont
été principalement faite derrière les 1 kilomètre de palplanches en direction
du plan d’eau.
Les
sources d’étude
Le peuplement des oiseaux
nicheurs, hivernants et migrateurs est étudié depuis les années 1970, par des
naturalistes locaux en individuel, ou affiliés au CROAP, Centre Régional
Ornithologique Aquitaine Pyrénées, qui devenu LPO Aquitaine. Les diverses
publications y ont été plus ou moins régulières. La dernière étude date 1978
(Harle & Bail). Tout en sachant que le milieu n’était pas le même, il était
beaucoup plus ouvert avec des vasières qui n’existent plus, ce qui explique la
disparition des limicoles, et surtout il y avait beaucoup moins d’arbres qu’à
l’heure actuelle. Les observateurs les ont réalisés à l’aide de longue-vue, et
paires de Jumelles. J’ai moi-même fait des séances de baguage pour le CRBPO.
Personne n’a fait de suivi par IPA, (indice ponctuel d’abondance), ni d’aucun protocole,
ni de suivi avec une barque au-delà des palplanches sur le plan d’eau. Autrement
dit toutes les observations ont été ponctuelles suivant la disponibilité des
uns et des autres.
Recherche
des observations
La première recherche et
analyse porte sur l’évolution de la richesse spécifique de l’avifaune nicheuse
du lac d’Artix et sur la base du premier atlas des oiseaux nicheurs d’Aquitaine
(1974-1984). Mais aussi d’un numéro 6 de la revue du CROAP (Le Coubageot).
Je me limite aux oiseaux ayant une interaction directe avec le lac d’Artix. Je
ne vais pas faire la liste commentée des passereaux, seuls les colombidés en
hivernage seront mentionnés.
Harle P., Bail J-C., et
la collaboration de Blake G et Desaulnay P. (1979). Etude phénologique et
variations numériques de l’avifaune du lac d’Artix. Le Courbageot 6, 1-9.
Boutet J-Y., Petit P.
& Centre régional ornithologique Aquitaine-Pyrénées. Atlas des oiseaux
nicheurs d’Aquitaine, 1974-1984. Bordeaux (France). 1987.
Puis sur le 2e Atlas des oiseaux
nicheurs d’Aquitaine (2015).
Et enfin l’Atlas des
oiseaux migrateurs et hivernants d’Aquitaine.
Theillout A., Besnard A.,
Delfour F., & Barande S. (coord) 2002.-Atlas
des oiseaux migrateurs et hivernants d’Aquitaine. Dordogne, Gironde, Landes,
Lot-et-Garonne, Pyrénées-Atlantiques. Museum national d’histoire naturelle,
Paris ; LPO, Rochefort, 496p. (Patrimoines naturels 80).
La deuxième analyse est
personnelle, c’est celle de mon fichier sur l’évolution de l’avifaune en
augmentation, ou en déclin, et nouvellement installée sur le lac d’Artix, il
comporte plus de 30 000 données.
Dans cette méthode
d’analyse je vais prendre l’ordre systémique du guide ornitho.
Lars Svensson., Peter Grant., Killian Mullarney., Dan Zetterström. Guide Ornitho Delachaux et Niestlé. Paris (2005).
Espèces par espèce, je
vais les présenter une à une avec leur statut ; (Nicheur, sédentaire,
migrateur), en fonction de leur présence et leur implication sur le lac
d’Artix,
Sur mon blog, note :
(https://oiseaupyrenees.blogspot.com/ Date
du mois et année pour la recherche). Toutes les espèces sont aussi visibles
pour cela écrivez le nom de l’oiseau dans (rechercher sur le blog).
Liste
explicite et commentée des espèces.
Grèbe
Huppé, Podiceps
cristatus : Il est Sédentaire, avec des effectifs stables, et moins de
10 ind. C’est un nicheur régulier avec un effectif de moins de 5 couples par
année. Première donnée 1 ind le 25/11/1984. J’ai observé 4 poussins le
29/08/2004 le même jour que les poussins des castagneux. Pour (Harle & Bail
1978), dans leur étude sur le lac d’Artix, ils ne le signalent pas nicheur,
juste de passage. Ma note (https://oiseaupyrenees.blogspot.com/
avril 2012)
Grèbe
castagneux, Tachybaptus ruficolis : C’est oiseau un nicheur et sédentaire avec
de faible effectif, stable, nicheur le 29/08/2004 un poussin observé. Il est très
discret, il s’entend plus qu’il ne se voit grâce à une série de notes sifflées
et de trilles aigus et rapides. Ma première observation est notée le 8/12/84 Ma
note : (https://oiseaupyrenees.blogspot.com/ aout
2004)
Grèbe
à cou noir, Podiceps
nigricolis : C’est
un migrateur occasionnel, ma première
observation de 2 ind le 29/10/1986,
ce qui correspond à une halte migratoire. Pour (Harle & Bail 1978) dans
leur étude ils ne le signalent que de passage. Ma note : (https://oiseaupyrenees.blogspot.com/
octobre 2010). L’oiseau qui est observé du 2/10/2004 au 20/3/2005 semble
pouvoir être le même.
Grand
cormoran, Phalacrocorax
carbo : Il
est sédentaire avec des effectifs stables. C’est un nicheur régulier avec
environ une centaine de couples en 2024. Une première observation le 26/10/1973
(Alberny, Blake, Désaulnay). Le 29/12/1983 j’ai compté 95 ind au dortoir. Le 15/06/2002
je découvre un couple de Grand cormoran qui couve. Le 6/7 un premier poussin,
le 9 un 2e, le 12 un 3e, et le 4e le 15/7. (Guyot
1992 & 2003). C’est donc une première nidification avec certitude. Ma note :
(https://oiseaupyrenees.blogspot.com/
juillet 2002)
Bihoreau gris, Nycticorax nycticora : C’est maintenant un hivernant régulier à cause des hiver doux avec des effectifs en baisse. En 1978, pour (Harle & Bail 1978), il y avait 53 jeunes pour 24 couples soit une moyenne de 2 jeunes à l’envol, l’oiseau était alors un migrateur de passage. Dans la période actuelle, la population nicheuse a chuté de 140 couples dans les années 80 à 6 nids en 2022, et cela depuis la nidification des hérons garde-bœufs. Je découvre le premier hivernage le 28/12/1985. Ma note : (https://oiseaupyrenees.blogspot.com/ avril 2001).
Héron
gardeboeufs, Bubulcus
ibis : Sédentaire, il a des effectifs nicheurs en nette augmentation,
le premier ind a été observé le 12/02/1989. Le dortoir et de 840 ind le 30/10/2001,
et de 773 ind le 13/01/2008, compté par moi-même. Le 23/03/2024 j’ai estimé 150
couples nicheurs. Remarque ; les gardeboeufs prennent la place des autres
ardéidés, tels les garzettes et les bihoreaux car ils s’installent avant pour
nicher. Ma note : https://oiseaupyrenees.blogspot.com/
avril 2000.
Crabier
chevelu, Ardeola
ralloides : C’est un nicheur rare, 2 ad posé le 31/05/1986,
le 14/06/1986 le couple transportait des matériaux pour construire son nid, le
27/05/89 un couple était en parade nuptial. Le 23/06/1990, 4 poussins ont été
observé et 3 jeunes à l’envol. (Guyot A., 1991) Première nidification réussie
du crabier chevelu (Ardeola ralloides) sur
le lac d’Artix. La Bergeronnette (1991), 8 6-8.
Aigrette
garzette, Egretta
garzetta : Sédentaire avec effectif stable, mais maintenant
nicheur en baisse dû à la forte présence et à la pression sur les nids par les
hérons gardeboeuf. La première observation sur le lac d’Artix est notée le 13/08/74
par Pierre Petit. En 1978 il y avait 11 couples, (Le Courbageot 1979). Actuellement
en 2024, il n’y a pas plus de 10 couples nicheurs, alors que dans les années
80, ils étaient plus de 100 couples.
Grande
Aigrette, Casmeroduis
albus : Sédentaire, elle s’observe toute l’année
avec de faible effectif, très souvent moins de 5 ind. Ma première observation pour
le site du lac le 24/11/1985, elle est restée jusqu’au 29/12/ et a été homologué
par le CHN. (Guyot 1991). J’attends sa nidification avec espoir sur le lac dans
les prochaines années.
Héron
cendré, Ardea
cinerea : C’est un sédentaire avec effectifs
stables, il est un nicheur régulier avec 35 couples installé en 1992. C’est
aussi un hivernant régulier avec des effectifs autour de 25 ind, et un maximum de
130 ind le 30/12/1985 lors de la vague de froid. Historiquement en 1978, (Harle
& Bail), donnent 52 ind en janvier et 55 ind en décembre. En hivernage
régulier ses effectifs sont d’environ de 10 individus.
Héron
pourpré, Ardea
purpurea : Voici un nicheur rare, l’espèce est
connue sur le lac depuis 1982, (anonyme et sans date). Le 30/5/92 je découvre 2
nids dans un même saule, le 26/06/1992 je découvre 4 poussins, le 17/7/1992 3
poussins, En 1995 les 24/06 et 1/07 je découvre 3 poussins. (Guyot 1992).
Cigogne
blanche, Ciconia
ciconia : Nicheur en aval du barrage à
Os-Marsillon, sur un pylône électrique, je la découvre le 13/07/2012, le
28/07/2012 suite à un coup de vent le jeune tombe du nid, malgré des recherches
au sol, je ne l’ai pas retrouvé. Malgré la construction d’une plateforme et sa
mise en place par la microcentrale électrique elle n’est jamais revenue.
Cigogne
noire, Ciconia
nigra : Migrateur rare, je découvre le
19/03/1988 un adulte posé dans les arbres, puis 2 adultes le 20/05/1989
toujours posé dans les arbres, je ne l’ai jamais depuis.
Spatule
blanche, Platalea
leucorodia : Encore un migrateur rare, Une première observation
en 1978 par (Harle et Bail), et sans date. Je découvre une spatule le
12/11/1986, puis 3 le 4/10/1991, et 30/01/1994.
Cygne
tuberculé, Cygnus
olor : C’est un nicheur régulier, et sédentaire en
expansion. La toute première observation date du 3/11/1984, aucune autre
observation antérieure même en 1978, (Harle & Bail). Le 21/03/1992 un
adulte couve, Le 8/05 un poussin est visible, le 17/05, 9 poussins, le 20/06
ils ne sont plus que 6 poussins, Le 7/10 il ne reste que 3 juvéniles avec un
adulte. (Guyot 1993). Dernièrement le 8/02/2024 j’ai observé 14 ind sur le lac
entre les adultes et les immatures.
Oie
cendrée, Anser
anser : Estivant régulier, un couple a couvée les
6/05/2012, et 28/04/2016, sans avoir vu les poussins et c’est chaque année
pareille. Je ne vois jamais les oies en hiver.
Bernache
nonnette, Branta
leucopsis : Belle observation d’un migrateur rare, 1
ind du 4/04/ au 20/04/2003. Et 1 ind le 4/03/2018.
Tadorne
de Bellon, Tadorna
tadorna : Voilà un hivernant de plus en plus
irrégulier à cause des hivers doux. Une première observation le 18/01/1985.
Plus d’observation depuis le 21/12/2014. (Harle & Bail 1978), le signale hivernant
et de passage.
Tadorne
casarca, Tadorna
ferruginea : Encore une belle observation d’un migrateur
très rare qui fait plaisir à observer. Deux observations les 20/02/2011, et
3/03/2018. Est-ce un oiseau d’origine sauvage ? Il était seul à chaque
fois, et n’avait jamais été observé, même en 1978. Observer des espèces rares
et toujours un plaisir. Ma note ; (https://oiseaupyrenees.blogspot.com/
mars 2018).
Canard
carolin, Aix
sponta : 1 observation d’un Carolin mâle le
23/12/2022 sur le lac d'Artix. (Communication personnelle) de Stéphane Duchateau.
Extraction,
(Harle & Bail 1978) Observation sans date du : Grèbe esclavon,
Blongios nain, Cygne sauvage, Oie des moissons, présent sur le lac d’Artix. A
cette époque le lac était plus ouvert pour leur accueil.
Canard
colvert, Anas
platyrhyncos : Sédentaire, mais la plupart des ind,
sont souvent des lâchés par le Fédé, donc impossible de dire une quelconque tendance.
Canard
chipeau, Mareca
strepera : C’est un hivernant régulier, et un nicheur
discret, ma première observation le 18/11/1984 concerne un ind seul et isolé,
et enfin une observation de 7 poussins le 21/6/1986, puis 11 poussins le
25/07/1987. La femelle peut très bien être confondue avec celle du colvert, et
surtout les poussins.
Canard
pilet, Anas acuta :
Encore un hivernant en baisse à cause des hivers trop doux. Première
observation le 26/12/1984. Dernière obs, le 14/01/2021.
Canard
souchet, Spatula
clypeata : Toujours un hivernant en baisse à cause
des hivers trop doux. Ma première observation est du 10/11/1984. Pas d’observation
depuis le 11/07/2022.
Canard
siffleur, Mareca
penelope : Même constat, même cause encore un hivernant
en baisse à cause des hivers trop doux. Première observation le 28/12/1984, puis
aucune depuis le 24/12/2017.
Sarcelle
d’hiver, Anas
crecca : Nicheur rare, et hivernant en baisse à
cause des hivers trop doux, celà commence à faire beaucoup dans la liste des
canards. Les 117 individus du 27/12/1984 sont bien loin ! Le 29/08/2004 j’observe
2 poussins. Le 17/4/2005 un accouplement. Mais toujours de moins en moins
d’individus hivernants : voir (https://oiseaupyrenees.blogspot.com/ aout
2013)
Sarcelle
d’été, Anas
querquedula : Encore un migrateur régulier en baisse
d’effectif, c’est une catastrophe. Ma première observation est du 24/03/1985.
Et je n’ai pas revue cette belle sarcelle depuis le 24/03/2021.
Fuligule
milouin, Aythya
ferina : Hivernant régulier. Ma première
observation est du 10/11/1984. Dans un film de Georges Holin tourné en 1972,
l’on voit très bien des poussins qui suivent un adulte. (Harle & Bail 1978)
ne le signale pourtant pas nicheur. La seule preuve tangible de nidification
est à la gravière de Denguin en amont du lac d’Artix sur le gave de Pau, j’y
découvre 2 adultes avec un couvant le 16/05/2008. (https://oiseaupyrenees.blogspot.com/
mai 2008)
Nette
rousse, Netta
rufina : Un migrateur occasionnel qui fait
plaisir à observer surtout le mâle avec ses belles couleurs. Ma première
observation date du 18/08/1989, et il n’a pas été revu depuis le 11/03/2014, la
litanie est longue des oiseaux que l’on observe plus.
(En construction)