Oiseaux des Pyrénées 64.
Blog des observations ornithologiques avec un intérêt particulier pour la saligue du lac d'Artix que je visite depuis l'année 1984. (2) et depuis 1996 du lac collinaire d'Ayguelongue, lorsqu'il est puisé, il devient une vasière, il attire de très nombreux limicoles. (3) suivre la migration à Ciboure en lisant les bagues des goélands et observant la migration en piémont sur le plateau de Buzy
samedi 16 mars 2024
jeudi 14 mars 2024
mercredi 13 mars 2024
mercredi 6 mars 2024
Bécassines des marais, elles ne sont toujours pas parties du lac d'Artix 64.
dimanche 18 février 2024
mardi 13 février 2024
jeudi 8 février 2024
Vison d'Amérique au lac d'Artix, une première observation irréfutable pour ce milieu.
samedi 3 février 2024
Bécassine des marais, elles étaient neuf posées au lac d'Artix ce samedi par 17°.
Elles sont sur les arbres morts, charriés par les nombreuses crues successives. cela s'appel un embâcle.
mercredi 31 janvier 2024
lundi 29 janvier 2024
dimanche 28 janvier 2024
mardi 23 janvier 2024
lundi 22 janvier 2024
Pourquoi
les vautours fauves
sont-ils
de plus en plus nombreux
et pour
quelle raison ?
Son
histoire et la réalité sur le terrain
du
nourrissage à la dépendance alimentaire.
Par
Andréas Guyot.
Présentation.
Toutes les personnes qui
randonnent en montagne, ont le désir de voir dans le ciel un aigle, car cet
oiseau symbolise à lui seul le rapace des hautes altitudes. Mais dans les
Pyrénées, le rapace que l’on observe le plus souvent est un vautour fauve, Gyps fulvus, et plus rarement un autre de
la même famille, tel le gypaète barbu ou le percnoptère d’Égypte. Si l’Aigle
royal est réellement un animal sauvage, le vautour fauve est devenu un oiseau
assisté du point de vu alimentaire puisqu’il est complétement dépendant des
carcasses issues de l’élevage déposées sur les charniers pour les humains. Mon
étude va vous présenter toutes les contradictions de ce type de pratique :
nourrir les vautours fauves. La situation est devenue ingérable car ils ne
peuvent même plus trouver de la nourriture individuellement dans la nature,
tellement ils sont nombreux, pour une biomasse disponible in natura. Une autre
conséquence, ils deviennent dépendants de notre nourriture, donc revenir à une
éthique et un inné, en fermant toutes les placettes d’équarrissages naturelles,
afin de décroître la population des vautours fauves.
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