dimanche 25 septembre 2022

Une belle diversité de limicoles et d'échassiers au lac de Momas malgré un niveau très bas.

J'ai une passion pour les oiseaux d'eau, limicoles et échassiers, cet après-midi j'ai été servi. 
6 grandes Aigrettes en début d'après-midi et 2 en soirée.




lundi 19 septembre 2022

Goéland leucophée bagué vert en Camargue. Quel parcours pour venir sur la côte basque.

Bonjour Andréas, 

Je ne sais pas exactement le chemin qu'ils prennent pour aller sur la côte basque. J'ai des lectures sur plusieurs endroits de la côte mais pas trop entre les colonies et chez vous. 
Nous avons par contre équipé certains individus avec des balises, je vous joins deux tracés, ils sont allée vers Bordeaux donc plus au nord que chez vous mais les autres font peut-être le même trajet puis ensuite descende le long de la côte.


Ils doivent ensuite descendre le long du littoral landais pour arriver à St Jean-de-Luz / Ciboure.
Voici deux bagues lues sur la vasière de Ciboure

samedi 17 septembre 2022

Le lac de Momas, qui est une retenue collinaire dit de l'Ayguelongue, n'a jamais été aussi bas.


 

Il y a malgré tout une belle diversité en terme de limicole, J'ai une passion pour cette catégorie d'oiseaux et lorsque le lac se vide une immense vasière se découvre. 



mardi 13 septembre 2022

Est-ce vraiment une attaque des vautours fauves sur cette brebis à Simacourbe 64 dans le Vic Bilh ?

Je ne le pense pas, parce que les vautours fauves n'enlève jamais la laine, et ils commences toujours par les parties molles: Yeux, bouche, anus. 

Ce matin 13/9/22, j'ai téléphoné à Monsieur Jean Larréché pour obtenir des photos des agneaux morts lors de l'attaque du 30 mai 2022, et il me dit: je viens encore de subir une attaque par les vautours, 45 mn après j'étais chez lui, cette brebis était agonisante, mais encore vivante, ma question qu'est-ce qui a pu lui faire cette blessure mortelle ?

vendredi 9 septembre 2022

Simacourbe : un troupeau de brebis vivante attaqué par les vautours fauves. Pour moi il y a suspicion.

Les attaques des vautours fauves, sont classées en deux catégories ante mortem (avant la mort) ou post mortem (après la mort) Le plus souvent puisque le vautour fauve est un charognard les attaques sont classé en post mortem. dans 99% des cas.

Hors dans l'article du 1 juin page 11 de la République des Pyrénées, Il est écrit que les vautours fauves ont tués 3 brebis, 3 agneaux et que 3 supplémentaires sont mortes le mardi et une autre et dans un état critique soit 10 ovins en tout.

Cela est tout simplement impossible, lors d'une attaque ante mortem, le ou les vautours fauves s'en prennent à une seule est unique bête, jamais à 10 bêtes cela ne sais jamais vu tout du moins selon les témoignages reçus à l'IPHB.

Lorsque les vautours s'en prennent à plusieurs bêtes c'est quelles sont mortes alors, c'est un charnier.

Sur la photo il n'a aucune marque de sang sur les parties molles !!!! ce n'est pas normal. 

Je me pose la question en voyant cette carcasse de son état de non fraicheur, l'attaque a eu lieu le 30 mai, même si la photo a été prise le 31 mai, il n'y a aucune trace de sang sur cette carcasse de plus la laine à pratiquement disparu...!! pour moi elle a plusieurs jours voir semaine. 
https://www.larepubliquedespyrenees.fr/pyrenees-atlantiques/simacourbe/simacourbe-un-troupeau-de-brebis-attaque-par-les-vautours-11136033.php

Zoom: extrait du Journal La République des Pyrénées.
Des cas présumés d'intervention de vautours fauves sont régulièrement signalés par les éleveurs dans plusieurs régions: Espagne, Pyrénées, Massif central..... Dans les Pyrénées française, depuis le signalement d'un premier cas en 1993, ceux-ci sont devenus réguliers (8 à 17 par an de 1997 à 2001), atteignant un pic de 127 en 2008. Leur nombre a ensuite diminué jusqu'à se stabiliser ces dernières années entre 20 et 40 cas par an pour l'ensemble des six départements concernés (Pyrénées-Atlantiques, Hautes-Pyrénées, Hautes-Garonne, Ariège, Aude, Pyrénées-Orientales.
Si on observe une saisonnalité de ces signalements, les périodes connaissant le plus grand nombre de déclarations (mai-juin puis secondairement août-octobre) concordent cependant avec le pic des mises bas chez les bovins.