La liste des oiseaux à observer pour le mois de février 2020.

Mon objectif est de combler les cases vides afin de trouver les oiseaux sédentaires au milieu. Sédentaire ne veut pas dire forcement nicheur !!!

Liste des observations de 1994 à nos jours.

Canard colvert: Les couples se forment sur les lieux d'hivernage en hiver pour le printemps.

 Accouplement de Colvert

Carnard Chipeau 

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Autres observations: 15 chipeau, 7 gde aigrette, 1 pipit spoincelle, 1 chevalier guignette, 3 souchet, 

Le Vautour fauve dans les Pyrénées. l'aberration du nourrissage artificiel.

Pourquoi les vautours fauves

sont-ils de plus en plus nombreux

et pour quelle raison ?

Son histoire et la réalité sur le terrain

du nourrissage à la dépendance.

Par Andréas Guyot.

 

Présentation :

  Toutes les personnes qui randonnent en montagne, ont le désir de voir dans le ciel un aigle, car cet oiseau symbolise à lui seul le rapace des hautes altitudes. Mais dans les Pyrénées, le rapace que l’on observe le plus souvent est un vautour fauve, Gyps fulvus, et plus rarement un autre de la même famille, tel le gypaète barbu ou le percnoptère d’Égypte. Si l’Aigle royal est réellement un animal sauvage, le vautour fauve est devenu un oiseau assisté du point de vu alimentaire puisqu’il est complétement dépendant des carcasses issues de l’élevage déposées sur les charniers pour les humains. Mon étude va vous présenter toutes les contradictions de ce type de pratique : nourrir les vautours fauves. La situation est devenue ingérable car ils ne peuvent même plus trouver de la nourriture individuellement dans la nature, tellement ils sont nombreux, pour une biomasse disponible in natura. Une autre conséquence, ils deviennent dépendants de notre nourriture, donc revenir à une éthique et un inné, en fermant toutes les placettes d’équarrissages naturelles, afin de décroître la population des vautours fauves.   

    

Comment au fil des années faire baisser une population de vautours fauves nicheurs ?

Pour recevoir l'étude complète 27 pages: andreasguyot@orange.fr

Andréas Guyot, 

7 rue Jules Verne, 64000 Pau.

06 80 70 39 80.

Les deux cigognes blanches sont dans la prairie humide avec les oies cendrées.

Autres observations: 5 pipit farlouse, 8 pinson des arbres, 2 cigogne blanche, 2 chevalier guignette, 2 faucon pèlerin, 3 mésange à longue queue, 3 canard souchet. 

Le parcours d'une grive mauvis entre la Suède et Monein en France.

 Lieu du baguage en Suède.

Lieu de la reprise à Monein, à 3 013,5 km.

Le balbuzard bagué et observé au lac d'Artix, venait de l'Allemagne du nord.

A la recherche d'autres passereaux dans le parc de la saligue aux oiseaux, mais !!!! ils n'y sont pas.

Je recherche d'autres passereaux; Bouvreuil pivoine, Grosbec casse-noyau, voir Bruant des roseaux, Roitelet huppé, mais je ne trouve rien sinon les oiseaux classique du lieu. 

 Tarin des aulnes.

Grimpereau des jardins.

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Autres observations: 2 pinsons des arbres, 2 merle noir, 1 roitelet à triple bandeau, 6 tarin des aulnes, 1 sittelle torchepot, 2 rouge-gorge, 1 mésange bleue, 2 pouillot véloce, 1 grimpereau des jardins, 1 geai des chênes, 1 corneille noire, 12 chardonneret élégant, 1 aigrette garzette. 
Sur le marais toujours les 2 cigogne blanche.

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La situation des observations au mois de Janvier de 1994 à nos jours.

Il me reste février et mars à combler pour la recherche des passereaux.

Les passereaux observés à la saligue aux oiseaux

 Pipit farlouse.

Chardonneret élégant.

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Autres observations: 1 tarin des aulnes, 5 pinsons des arbres, 1 mésange bleue,

2 merle noir, 1 râle d'eau (entendu) 2 roitelet à triple bandeau, 2 rouge-gorge familier, 2 pouillot véloce, 15 étourneau sansonnet, 2 pic vert (entendu) 1 poule d'eau (entendu), 1 geai des chênes (entendu), 1 accenteur mouchet, 1 pipit farlouse, 1 bergeronnette grise, 1 chevalier guignette, 5 chardonneret élégant, 1 corneille noire (entendu), 9 gde aigrette, 2 cigogne blanche, 1 buse variable, 1 gd cormoran. 

L'écopastoralisme du marais est assuré par les 6 ânes en plus des 5 vaches marines landaises.

Ils aiment les jeunes pousses de jonc.

https://www.paysalia.com/fr/blog/entretien/ecopastoralisme-choix-animal

C'est une réponse idéale pour atteindre l'objectif zéro phyto imposé par la réglementation ! (https://www.paysalia.com/fr/blog/entretien/interdiction-neonicotinoides-espace-vert) En confiant l'entretien de leurs espaces verts à des herbivores, les collectivités publiques ou privés sont gagnantes sur toute la ligne. Voir les avantages de l'écopastoralisme. (https://www.paysalia.com/fr/blog/entretien/6-raisons-adopter-ecopastoralisme) Mais quels animaux peut-on utiliser, et quels sont leurs terrains de jeu privilégiés ? Pour y voir plus clair Christophe Darpheuil, éleveur et directeur de l'association Naturama (https://naturama.fr/) fait profiter de son expertise sur cette méthode alternative de l'entretien du paysage.

Le couple de cigogne blanche a franchi une étape de plus à la saligue, il est sur l'aire de nidification

Pour leur faciliter la construction du nid, des fagots de petites branches vont être mis pas très loin.

Il y a peut-être un espoir qu'un couple de cigogne blanche s'installe pour nicher sur le marais de Biron. Ce serait une récompense mérité pour les gestionnaires et techniciens qui ont toujours tout fait pour l'accueil des oiseaux et par la pose de quatre plates-formes de nidification. 

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Une série sur la bergeronnette grise.

Photos prises depuis l'affût.

Bergeronnette grise.

Un cormoran pygmé à Carbonne (Haute-Garonne). Je me suis fait le plaisir d'aller le voir.

Sur un site d'information sur la présence des oiseaux rares en France, bien que je ne coche plus, j'ai vu hier soir (13 janvier) qu'il y avait un cormoran pygmé dans une ancienne gravière à Carbonne en Haute Garonne (avant Toulouse depuis Pau et à 160 km) et comme je suis toujours passionné par les oiseaux d'eau, je suis donc aller voir cette espèce le plus vite possible, car je ne l'avais encore jamais vu auparavant.  

Ce cormoran pygmé semble y passer l'hiver, en compagnie de grands cormorans et de bihoreaux gris au vu de la photo. Je n'en savais pas plus que cela, est-il là depuis longtemps et surtout, va t'il y rester longtemps ?

Mes recherches et l'échange de mail depuis mon retour m'ont permis d'apprendre qu'un même individu avait été observé pendant l'hiver 2016/2017 à Boussens, Haute Garonne, pas très loin du nouveau site et que l'oiseau que j'ai observé, a été découvert le 10 janvier 2020 à Carbonne, sans que personne ne sache depuis quand il y est. 

Sur Google j'ai aussi trouvé des photos d'un cormoran pygmé de novembre 2011, et de Janvier à mars 2012 en Ardèche. 

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J'ai envoyé mes photos pour l'article d'Ornithomédia:  

https://www.ornithomedia.com/magazine/analyses/pourquoi-cormoran-pygmee-nichera-surement-jour-france-01485/#comment-2172

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J'ai appris aussi qu'il y a aussi 1 oiseau adulte en Belgique: 

https://observations.be/species/242/observations/?fbclid=IwAR3ADzOZMIyD4epsxSXKytRrPX9HOAc2JRcrCWnA0zszlv_rqwxyhwdp5kc

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3 photos exploitables sur l'ensemble.

Ma description: du Cormoran pygmé observé; résolument plus petit qu'un grand cormoran, la tête et le cou sont bruns, le bec est petit, le menton est pâle, le front est abrupt, les ailes déployées ne sont pas longue, le plumage du dos ne présente pas de filoplumes blanches, donc l'oiseau semble être un adulte, il a toujours été de dos, je n'ai pas vu son ventre.

Ma description: nettement plus petit que le grand cormoran, crâne et cou bruns typiques, petit bec, Le menton est plus pâle, le plumage des ailes est noir luisant avec des reflets vert, le plumage du dos est noir mat, la queue est comme le dos. 

Au fond le cormoran pygmé, devant un grand cormoran. 

De retour à Pau, j'ai cherché dans mes livres:

De Peter Harrison: Adulte nuptial: tête noirâtre, la calotte et les côtés tout piquetés de filoplumes blanches, des aigrettes au front; devient bien brune à filoplumes moins nombreuses à mesure que la pariade progresse. Dessus noir grisâtres lustré de vert et maillé de noir. Dessous noirâtre piqué de filoplumes blanches. Dessus de l'aile: rémiges noirâtres, sus-alaires noir grisâtre lustré de vert et liserées de noir; dessous de l'aile noirâtre. Queue noirâtre. 

L'oiseau que j'ai observé correspond au 183b.

Adulte internuptial: Comme l'adulte nuptial mais le bec brun à commissure jaunâtre, la tête brun terne, le menton blanc, la gorge et le devant du cou blanc brunâtre, le dessus plus terne et plus brun à liserés pâles, le dessous brun foncé plus ou moins maculé de chamois.  

Ref: Oiseaux de mer, Peter Harrison, 1995, planche 44, n°183, édition Broquet.

De Georges Dif: En plumage nuptial: tête et cou brun-roux; reste du corps et queue noirs à reflets verdâtres et grisâtres; ici et là, tacheté de blanc; ailes gris soutenu avec plumes bordées de noir; bec brunâtre; pattes noirs. En hiver: perte des taches blanches; tête et cou plus clairs; gorge et haut de la poitrine blanchâtres. Mue complète de juin à octobre; mue partielle de décembre à mars. Jeunes: comme les adultes en hiver mais moins foncés; dessous blanc pâle; bec jaunâtre. 
Ref: Les oiseaux de mer d'Europe, Georges Dif, 1982, page 151, édition Arthaud.

Petit cormoran d'Europe du Sud-Est et du Moyen-Orient.
Le cormoran pygmé est originaire du delta du Danube et du Pô, Lagunes des pays des Balkans, des côtes de l'adriatique, des rivages et marais: de la mer noire, de la mer Caspienne, de la mer d'Aral, il est présent en Turquie, au Kurdistan, en Irak à l'embouchure du Tigre et de l'Euphrate. 
Il a niché en: Hongrie, Italie, Algérie, Israël. 
Il aime l'eau douce voir saumâtre mais pas la mer. Pêche aussi sur de très modestes cours d'eau ou étangs mais jamais en Méditerranée.  

Autres Ref: 
- Les oiseaux d'Europe, 1994, Lars Jonsson, Nathan.
- Guide encyclopédique des oiseaux du Paléarctique occidental, 1998, Nathan. 

Voir: https://www.ornithomedia.com/magazine/analyses/pourquoi-cormoran-pygmee-nichera-surement-jour-france-01485/

Goéland brun, observation d'une nouvelle espèce pour le marais de Biron.

Ref: Le grand livre des oiseaux de France et d'Europe, 1977, Fernand Nathan.

Les Goélands bruns et les goélands argentés sont parents. La distribution de ceux-ci se situe à l'ouest de l'Arctique et elle y rencontre celle du goéland brun, ce qui donne des variétés sombres. Les deux ne pourraient donc qu'être les extrêmes d'une seule espèce maintenant leurs caractères de part et d'autre d'une zone de croisement. 

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Ref: Guide encyclopédique des oiseaux du Paléarctique occidental, 1998, Nathan.

Curieusement, ne s'hybride que très rarement avec le goéland argenté alors qu'ils nichent tous les deux souvent dans de vaste colonies mixtes.

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Ref: Atlas des oiseaux de France en Hiver, 1991, Société ornithologique de France. 

Le premier cas d'hivernage observé en région parisienne (1978-1979) fut l'occasion de faire quelques remarques sur les modalités des séjours continentaux de cette espèce marine. 

L'espèce est régulièrement observé en France sur l'ensemble du littoral atlantique et localement jusqu'à une centaine de kilomètres à l'intérieur des terres. 

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Ref: Histoire des oiseaux d'Europe, 1971, Bordas 

La systématique de ces goélands est sujette à discussion entre spécialistes. Certains jugent que le Goéland brun est seul d'origine européenne et ils lui rattachent les goélands à manteau gris mais ayant aussi des pattes jaunes. L. a michaellis, de Méditerranée et L. a omissus de Scandinavie tandis que les L. a argentatus type de l'Atlantique, à pattes roses, serait d'origine américaine. D'autres accordent une influence déterminante à la couleur du manteau en s'appuyant sur le fait que tous les goélands gris sont surtout sédentaires tandis que les goélands typiques sont migrateurs en hiver.  

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Le faucon crécerelle; présence pour le mois de janvier.

Faucon crécerelle.

A propos des canards hybrides, pas facile de si retrouver !!!

Hier nous étions au lac d’aubin de Doazon. Nous avons observé deux sarcelles d’hiver avec un plumage qui nous a apparu dans un premier temps « Bizarre » : Joues beige orangé, un dessous de cou blanc,une tâche blanche à l’arrière de la tête, pas de miroir.
Photos: Christine Dublanc.

d'Andréas: Manifestement il ne s'agit pas d'une sarcelle de souche, même si elle en a l'allure. J'ai donc cherché sur internet et voici ce que j'ai trouvé: 

Ce sont des canards appelants, destinés à la chasse au gibier d'eau qu'ils nomment sarcelle/siffleur, ou encore canard mignon, voir Baikal.  

Sur ce site ci-dessous, il y a toutes les explications des chasseurs.

https://hunter59-duck.skyrock.com/1111140660-canard.html?fbclid=IwAR2lq-kTKCiasWEE-9sx2ccS3AfB4abp2j7tBdzLaZiil_7KUf5z3pVZurA

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Voici un canard hybride que j'ai trouvé au lac de Momas, et je n'ai jamais su son hybridation. 

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Pour celui-ci c'est facile Pilet x Colvert.

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Hybride entre Milouin et Nyroca.

Mésange nonnette et Pic épeiche observés au mois de janvier dans le parc de la saligue aux oiseaux.

Pic épeiche.

 Mésange nonnette.

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5 des 11 grandes aigrettes sur le marais de Biron.

Son histoire, Ref: Histoire des oiseaux d'Europe, 1971, Bordas.

Ce magnifique oiseau blanc, répandu sur tous les continents, n'est représenté en Europe que par une population danubienne qui a toujours été faible. Cette espèce a subi d'effrayant ravages à cause de la plumasserie: en 1902 le seul marché de Londres voyait passer 200 000 aigrettes d'origine surtout américaine et africaine. 

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Hier, j'ai participé au lac d'Artix à les compter lorsqu'elles arrivent en dortoir, elles étaient 13. plus les 11 ind à Biron, soit 24 ind.

J'espère qu'il y aura une nidification au lac d'Artix, dans un futur proche.   

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Autres observations: 41 grand cormoran, 1 fuligule morillon, 27 fuligule milouin, 1 sittelle torchepot, 1 râle d'eau, 2 roitelet à triple bandeau, 1 mésange charbonnière, 3 mésange à longue-queue. 

Deux cigognes blanches dans le soleil rasant sur le marais de Biron. (Photo depuis l'affût).

C'est surement ce même couple qui était sur les plates-formes de nidification ces derniers jours. Je surveille si il y a un transport de matériaux. 
La non pénétration humaine sur le marais et la tranquillité du milieu va peut-être faire qu'elles vont nicher, ce serait un véritable succès.
Ce que je sais des divers couples dans les Pyrénées-Atlantiques, n'est que visuel, en ce sens qu'elles nichent dans les alentours du péage de Sames, et le long de l'Adour sur la route du halage, et à ma connaissance aucun couple ne niche en Béarn.     

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Mes livres sur la vie des cigognes:

- La vie des cigognes, 1963, les éditions Braun & Cie.

- La cigogne blanche, 2002, Delachaux et niestlé.

- La cigogne, 2000, Actes sud junior.
- Cigogne; le grand livre d'un oiseau symbole, 1992, La nuée bleue.

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Ref: La cigogne, Claude-Marie Vadrot, Page 17... 

Contrairement à la légende, les couples de cigognes blanches ne sont pas éternels et seules les cigognes noires paraissent relativement fidèles l'une à l'autre. D'ailleurs, dans la plupart des cas, le mâle et la femelle quelle que soit leur couleur, ne passe pas l'hiver dans les mêmes lieux d'Espagne ou d'Afrique . Un savoir récent venu des suivis satellites. 

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Autres observations: 6 gde aigrette, 1 faucon pèlerin, 1 chevalier guignette, plus les canards habituels.