mercredi 30 septembre 2020

Il y a beaucoup moins de limicoles sur la vasière du lac de Momas.

Le combattant varié

Au premier plan le bécasseau variable, derrière un jeune grand gravelot.

Un bécasseau variable 

Grand gravelot

mardi 29 septembre 2020

La diversité des limicoles sur la vasière du lac de Momas a beaucoup baissé.

 Le phalarope à bec large, n'est plus sur le lac, il y sera resté quatre jours.


Chevalier sylvain

Chevalier sylvain avec une bergeronnette.

Chevalier aboyeur

lundi 28 septembre 2020

dimanche 27 septembre 2020

Un possible martinet pâle en migration au dessus du lac de Momas.



Dans un premier temps j'ai pensé à un martinet noir, et puis en y regardant de plus près, il me semble que cela pourrait être un martinet pâle. 


Phalarope à bec large: C'est son troisième jour de présence sur le lac de Momas.




J'ai regardé dans le "Shorebirds" planche 63/158, page 162, et l'oiseau est en première année civil. 


mardi 22 septembre 2020

Un jeune flamand rose posé sur le lac de Momas, dit de l'Ayguelongue.

C'est au total 6 oiseaux connu, 3 réserve de Txingudi, 2 réserve du marais d'Orx, 1 lac de Momas. 
Explication de l'égarement, la dépression de l'épisode cévenol a généré des vents allant de l'est vers l'ouest, ces oiseaux en migration devaient suivre le littoral pour se rendre vers le delta de l'Ebre, et ils ont été propulsé vers le versant nord de la chaine des Pyrénées et ils ont débouché vers l'unique sortie, celle de l'Atlantique.  

Il s'agit vraisemblablement d'un oiseau de 1e voir de 2e année, car le cou est déjà blanc et pas gris foncé, de plus en vol il a du rose sous les ailes. 
j'ai lu le "Paul Géroudet" (Grand échassier), mais je n'en sait pas plus, il est possible qu'il est en mue et que la couleur du cou, c'est déjà éclaircie, cela semble se voir sur la photo.

dimanche 20 septembre 2020

Le jeune bécasseau tacheté est toujours en halte migratoire sur la vasière du lac de Momas.


A gauche la spatule adulte, à droite la jeune spatule 

Une partie de la quarantaine de Bécassine des marais.

Entre les deux spatules un chevalier aboyeur.

jeudi 17 septembre 2020

Le Bécasseau tacheté d'origine d'Amérique du Nord, continu sa pose migratoire sur le lac de Momas.





Cette retenue collinaire a été créée en 1996, pour des besoins d’irrigations agricoles locales et de soutien à l’étiage pour les cours d’eau en aval. Elle est située sur les communes de Mazerolles et Momas dans les Pyrénées-Atlantiques. Ce plan d’eau à 17 km au nord-ouest de Pau est communément appelé : le lac de Momas.
Sa particularité c’est qu’il est dans une plaine alluviale avec un fond plat et pas abrupte, ainsi lorsque les agriculteurs puissent l’eau pour irriguer les champs de maïs, apparaît une immense vasière. En amont, là ou il y a très peu de fond, lorsque le lac est plein, cette vasière a été colonisé par une végétation invasive ; principalement avec la grande jussie, mais dès qu’il y a plus d’un mètre de profondeur, cette dernière ne se développe pas.
La période du début du puisement de l’eau, coincide avec le début de la migration des premiers limicoles, en juillet ; le vanneau huppé, le chevalier sylvain, les chevaliers guignette et culblanc, tout au long des mois d’août, septembre, octobre, le niveau ne fait que baisser pour libérer des surfaces de vasière encore plus grande, ce qui permet l’accueil de nombreux autres palmipèdes et des grands échassiers, telle la spatule, la grande aigrette, les cigognes blanche et noire, et même 3 flamands rose,
Les premiers sont les foulques macroule, les autres palmipèdes du genre anatidés arrivent à partir de la dernière décade de septembre, jusqu’en octobre, certains d’entre eux hivernent.
Établir une liste complète serait fastidieux, mais tous les palmipèdes classiques y ont été dénombré, quelques raretés comme le fuligule à tête noire, le fuligule à bec cerclé ont été observé.
Pour les limicoles, des raretés comme : le bécasseau tacheté, de Temminck, à queue-pointue, rousset, falcinelle, de Bonaparte, ont aussi été observé, même le très marin gravelot à collier interrompu, mais aussi des bécasseaux sanderling et des tournepierres à collier. C’est dire si les possibilités d’observation sont multiples et variées.
Ma présentation du plan d’eau, ne prend en compte que les bien-fait du côté naturaliste et ornithologique, et pas la polémique des écologistes, qui sont contre la culture du maïs et donc contre les retenues collinaires. mais il est indéniable que les oiseaux migrateurs y trouvent leur compte, et pour moi c’est le principal.