vendredi 9 septembre 2022

Simacourbe : un troupeau de brebis vivante attaqué par les vautours fauves. Pour moi il y a suspicion.

Les attaques des vautours fauves, sont classées en deux catégories ante mortem (avant la mort) ou post mortem (après la mort) Le plus souvent puisque le vautour fauve est un charognard les attaques sont classé en post mortem. dans 99% des cas.

Hors dans l'article du 1 juin page 11 de la République des Pyrénées, Il est écrit que les vautours fauves ont tués 3 brebis, 3 agneaux et que 3 supplémentaires sont mortes le mardi et une autre et dans un état critique soit 10 ovins en tout.

Cela est tout simplement impossible, lors d'une attaque ante mortem, le ou les vautours fauves s'en prennent à une seule est unique bête, jamais à 10 bêtes cela ne sais jamais vu tout du moins selon les témoignages reçus à l'IPHB.

Lorsque les vautours s'en prennent à plusieurs bêtes c'est quelles sont mortes alors, c'est un charnier.

Sur la photo il n'a aucune marque de sang sur les parties molles !!!! ce n'est pas normal. 

Je me pose la question en voyant cette carcasse de son état de non fraicheur, l'attaque a eu lieu le 30 mai, même si la photo a été prise le 31 mai, il n'y a aucune trace de sang sur cette carcasse de plus la laine à pratiquement disparu...!! pour moi elle a plusieurs jours voir semaine. 
https://www.larepubliquedespyrenees.fr/pyrenees-atlantiques/simacourbe/simacourbe-un-troupeau-de-brebis-attaque-par-les-vautours-11136033.php

Zoom: extrait du Journal La République des Pyrénées.
Des cas présumés d'intervention de vautours fauves sont régulièrement signalés par les éleveurs dans plusieurs régions: Espagne, Pyrénées, Massif central..... Dans les Pyrénées française, depuis le signalement d'un premier cas en 1993, ceux-ci sont devenus réguliers (8 à 17 par an de 1997 à 2001), atteignant un pic de 127 en 2008. Leur nombre a ensuite diminué jusqu'à se stabiliser ces dernières années entre 20 et 40 cas par an pour l'ensemble des six départements concernés (Pyrénées-Atlantiques, Hautes-Pyrénées, Hautes-Garonne, Ariège, Aude, Pyrénées-Orientales.
Si on observe une saisonnalité de ces signalements, les périodes connaissant le plus grand nombre de déclarations (mai-juin puis secondairement août-octobre) concordent cependant avec le pic des mises bas chez les bovins.

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