Blog des observations ornithologiques avec un intérêt particulier pour la saligue du lac d'Artix que je visite depuis l'année 1984. (2) Depuis 1994 du marais "La Saligue aux oiseaux", où nichent et attire de très nombreux oiseaux en migration toute l'année. (3) De compter la migration des oiseaux de juillet à novembre en piémont du Béarn sur le chemin de crète de la croix de Buzy.
samedi 9 décembre 2006
dimanche 26 novembre 2006
mardi 10 mai 2005
Sarcelle d'hiver, (Anas crecca) observation d'un accouplement au lac d'Artix
mardi 31 août 2004
Grèbe castagneux (Podiceps ruficollis), (tachybaptus ruficollis) observation d'un Pulli (poussin).
(Harle & Bail 1978) donne l'espèce hivernante et nicheuse.
Bibliographie:
Boutet J-Y., Petit P. & Centre régional ornithologique Aquitaine-Pyrénées. Atlas des oiseaux nicheurs d’Aquitaine, 1974-1984. Bordeaux (France). 1987.
lundi 30 août 2004
Sarcelle d'hiver (Anas crecca) observation d'un couple avec de poussins sur le lac d'Artix
Le 29 aout 2004, lors d'une sortie ornithologique au lac d'Artix, j'observe une femelle de Sarcelle d'hiver avec 2 poussins, c'est la première reproduction certaine observée sur ce plan d'eau.
Historique; dans leur étude (Harle & Bail 1978) donnent l'espèce nicheuse, comme suit; La période de reproduction de Mai à Septembre fait apparaitre un nombre assez constant d'individus: 12, 14, 16, 17, 19. Alors que la période estivale est en dents de scie.
Dans un tableau (Harle &Bail 1978), l'espèce est donnée hivernante et nicheuse.
vendredi 25 avril 2003
Bernache nonnette, Branta leucopsis, Première observation au lac d'Artix
La journée du 4 avril 2003, alors que je travaille pas le vendredi après-midi, je part en observation au lac d'Artix, très vite je trouve cette bernache nonnette en plumage adulte, parmi les autres canards, j'étais venu en espérant trouver une sarcelle d'été, mais je n'ai trouvé que 6 sarcelles d'hiver et 1 couple de canard souchet. je ne pensais pas voir encore une grande aigrette. Elle n'avait aucune interaction avec la colonie d'ardéidés.
En cherchant dans l'historique des observations, même en 1978, l'espèce n'avait pas été mentionné.
Je l'ai revue les 13 et 20 Avril.
mardi 16 juillet 2002
Grand cormoran (Phalacrocorax carbo), première nidification au lac d'Artix 64 avec 4 jeunes au nid.
Mes soupçons se sont confirmé lorsque le 19 mai 1996 je découvre un adulte de grand cormoran blessé à l'aile et incapable de voler, je pense alors qu'il y un risque de reproduction possible dans les années futures au lac d'Artix, et j'ai eu raison.
Le 15 juin 2002, je découvre dans la colonie des ardéidés un grand cormoran qui couve, le 6 juillet je découvre un poussin, le 9 juillet une 2e naissance, puis une 3e le 12 juillet et enfin un 4e poussin le 15 juillet.
C'est donc la première nidification du grand cormoran au lac d'Artix, en cherchant dans ma bibliographie (Boutet & Petit 1987) je découvre que l'espèce ne niche pas en Aquitaine dans les années 1974-1984.
J'entame alors une autre recherche (Harle & Bail 1978) une étude phénologique sur le lac d'Artix, là je découvre qu'il n'est signalé uniquement comme Hivernant et de passage.
Bibliographie:
Boutet J-Y., Petit P.
& Centre régional ornithologique Aquitaine-Pyrénées. Atlas des oiseaux
nicheurs d’Aquitaine, 1974-1984. Bordeaux (France). 1987.
samedi 14 avril 2001
Bihoreau gris (Nycticorax nycticorax). De la nidification à l'hivernage récent sur le lac d'Artix.
Boutet J-Y., Petit P.
& Centre régional ornithologique Aquitaine-Pyrénées. Atlas des oiseaux
nicheurs d’Aquitaine, 1974-1984. Bordeaux (France). 1987.
samedi 15 avril 2000
Héron garde-bœufs (Bubulcus ibis) Sur son comportement dominateur dans les héronnières.
samedi 17 avril 1999
Notes complémentaires sur l’hivernage du Balbuzard pêcheur (Pandion haliaetus) au Gave de Pau, Pyrénées-Atlantiques.
Notes complémentaires sur l’hivernage du Balbuzard pêcheur (Pandion haliaetus) au Gave de Pau, Pyrénées-Atlantiques.
Depuis les premières
observations hivernales de 1985-86 et l’hivernage complet d’un individu en
1989-90 (cf ma note précédente dans Nos oiseaux
40 : 373-74, 1990), le balbuzard est revenu régulièrement sur la saligue
du gave de Pau. En 1990-91, il fut présent dès le 19 août ; je le
découvris déjà le 17 août, l’année suivante le 19 août. En 1993 enfin, il a pu
arriver avant le 22 août, date de mon premier contrôle sur le site. Chaque fois,
la présence a duré tout l’hiver, au moins pour deux oiseaux, soit une femelle
dans le lieu déjà décrit et un mâle 3 km en aval. Nous en avons même repéré 3
le 28 décembre 1991 et de nouveau 3 le 28 décembre 1992 !
Le suivi n’a été effectif
qu’à partir du moment (29 octobre 1989) où nous avons localisé avec précision
les reposoirs fréquentés de préférence. Ce sont toujours des arbres morts
étêtés se dressant à proximité du plan d’eau ; l’oiseau s’y perche au
sommet d’une branche verticale. La femelle fait preuve d’une remarquable fidélité
à son poste habituel, tandis que le mâle s’est avéré beaucoup moins prévisible.
Toujours est-il que la ponctualité relativement précoce de la première
observation peu après mi-août et l’accroissement à deux, voire trois oiseaux,
méritent d’être relevés pour cet hivernage devenu traditionnel depuis au moins 9
ans. Il nous paraît donc vraisemblable qu’il s’agit des mêmes oiseaux. Leur origine
reste évidemment inconnue ; toutefois, du moment que le Balbuzard niche de
nouveau depuis 1985 en France continentale, où 3 ou 4 couples au moins se sont
cantonnés ces dernières années (dont 2 ont élevé des jeunes en 1992 et 1993, d’après
le rapport du F.I.R. n° 24), - on peut se demander si quelques hivernants du
Sud-Ouest n’appartiennent pas à la petite population française.
A tout hasard, nous avons
fait installer une plateforme sur un pylône de la ligne électrique, sur un
modèle illustré dans la revue du F.I.R. (n°18 p.13), dans l’espoir d’une
éventuelle nidification. Si ce dispositif a été un succès en Allemagne orientale,
notre initiative n’a pas encore eu de résultat ; mais il est permis de rêver…
D’autre part, nous sommes préoccupés par l’avenir des reposoirs, car plusieurs
arbres morts sont déjà tombés au site d’hivernage de la femelle. Peut-être des
poteaux pourraient-ils les remplacer et mieux garantir la pérennité, la
tranquillité et la sécurité de nos balbuzards pêcheurs.
Andréas Guyot 7, Rue
Jules-Verne F-64000 Pau.
Nos Oiseaux: 42 (6), p 368. (1994)
vendredi 16 avril 1999
Hivernage du Balbuzard pêcheur (Pandion haliaetus) dans le Sud-Ouest de la France.
jeudi 16 avril 1998
Un couple de Goélands Leucophées prédateur Sur les poussins de poules d’eau, au lac d'Artix
Un
couple de Goélands Leucophées prédateur
Sur
les poussins de poules d’eau.
Chaque année, avec plus
au moins de succès, un couple de Goélands leucophées, Larus cachinnans, se reproduit sur le lac d’Artix, alimenté par le
Gave de Pau, dans les Pyrénées-Atlantiques. Il a été signalé par Jacques Carlon
en 1985 (Alauda 53 :64-65.). Mes
observations ont confirmé un fait qui m’a été souvent rapporté : dans
cette ripisylve (aulnaie-saulaie), le couple exerce une importante prédation
sur les poussins des 25 couples de Poule d’eau, Gallinula chloropus, qui s’y reproduisent, et cela uniquement
pendant l’élevage des jeunes. A plusieurs reprises, j’ai observé des tentatives
de prédation sur des jeunes Canards colverts, Anas platyrhynchos, mais la cane Colvert montre une telle
agressivité envers l’attaquant qu’elle met en échec ses tentatives. Le
comportement de la poule d’eau est moins défensif et surtout étrange,
puisqu’elle entreprend une seconde ponte au même endroit, à dix mètres du
couple de goélands, alors que celui-ci a entièrement anéanti sa couvée. Nous
avons observé jusqu’à quatre apports de jeunes poussins dans une matinée et un
maximum de 9 poussins les 4 et 5 juin 1988. Mes observations sur l’alimentation
des jeunes de ce couple prédateur m’amènent à estimer que les jeunes Poules
d’eau représentent ici environ 70% du régime alimentaire, le reste étant
surtout composé de poissons blancs.
Andréas Guyot 7, rue
Jules-Verne, F 64000 Pau.
Nos Oiseaux : 1990,
40 (5) 303.
mercredi 16 avril 1997
Sur la situation des goélands cendrés (Larus canus) au lac d’Artix.
Sur
la situation des goélands cendrés
(Larus
canus) au lac d’Artix
Le 10 janvier 1985 au
début de la vague de froid, j’observe les goélands cendrés sur le lac, après
s’être nourrit sur la décharge ménagère d’Artix ils viennent se nettoyer sur le
lac avant d’aller en dortoir pour la nuit.
Voici le détail de mon
comptage : 82 ind en 2ème année (vu posé), 12 ind en 3ème année (vu posé) et 12
ind adultes (vu posé), soit 106 oiseaux, ce n’est pas mon plus gros comptage
sur cette espèce.
En effet le 17 janvier
1987 lors aussi d’un vague de froid, j’ai dénombré 325 ind posés, ils étaient
tellement nombreux que je n’ai cherché à faire le ratio des âges.
J’ai cherché dans la
bibliographie régionale (Harle & Bail 1978) et le goéland cendré n’est pas
mentionné dans la liste des espèces présentes sur le lac d’Artix. Ni même dans
l’Atlas des oiseaux nicheur d’Aquitane (Boutet & Petit 1987)
Dans l’atlas des oiseaux
migrateurs et hivernants d’Aquitaine, il n’est fait aucune.mention de sa
présence en Béarn (Theillout et all 2020).
L’oiseau n’a plus revu
depuis la fermeture en 1989 de la décharge ménagère d’Artix.
Andréas Guyot 7, rue
Jules-Verne F 64000 Pau.
lundi 22 avril 1996
Observation d'une mouette de Sabine (Larus sabini) dans l'embouchure de l'Adour.
mardi 13 juin 1995
Fuligule nyroca (Aythya nyroca) des hivernages en longueur au lac d'Artix
dimanche 25 décembre 1994
Elanion blanc; Nouvel atlas des oiseaux nicheurs de France. 1985-1989.
lundi 13 juin 1994
Note complémentaire sur l'hivernage du Balbuzard pêcheur (Pandion haliaetus) au Gave de Pau, Pyrénées-Atlantiques.
Chaque fois, la présence a duré tout l'hiver, au moins pour deux oiseaux, soit une femelle dans le lien déjà décris et un mâle 3 km en aval. Nous en avons même repéré 3 le 28 décembre, et de nouveau 3 le 28 décembre 1992 !
Le suivi n'a été effectif qu'à partir du moment (29 octobre 1989) où nous avons localisé avec précision les reposoirs fréquentés de préférence. Ce sont toujours des arbres morts étêtés se dressant à proximité du plan d'eau, l'oiseau s'y perche au sommet d'une branche verticale. La femelle fait preuve d'une remarquable fidélité à son poste habituel, tandis que le mâle s'est avéré beaucoup moins prévisible. Toujours est-il que la ponctualité relativement précoce de la première observation peu après mi-août et l'accroissement à deux, voir trois oiseaux, mérite d'être relevé pur cet hivernage devenu traditionnel depuis au moins 9 ans.
Il nous parait donc vraisemblable qu'il s'agit des mêmes oiseaux. leur origine reste complètement inconnue; toutefois, du moment que le Balbuzard niche de nouveau depuis 1985 en France continentale, où 3 ou 4 couples au moins se sont cantonnés ces dernières années (dont 2 ont élevés des jeunes en 1992 et 1993, d'après le rapport du F.I.R, n° 24, - on peut se demander si quelques hivernants du Sud-Ouest n'appartiennent pas à la petite population française...
A tout hasard, nous avons fait installer une plateforme sur un pylône de la ligne électrique, sur un modèle illustré dans la revue du F.I.R (n°18, p, 13), dans l'espoir d'une éventuelle nidification. Si ce dispositif a été un succès en Allemagne orientale, notre initiative n'a pas encore eu de résultat; mais il est permis de rêver.... D'autre part, nous sommes préoccupés par l'avenir des reposoirs, car plusieurs arbres morts sont déjà tombés au site d'hivernage de la femelle, Peut-être poteaux pourraient-ils les remplacer et mieux garantir la pérennité, la tranquillité et la sécurité de nos Balbuzards pêcheurs.
mercredi 1 décembre 1993
Hivernage régulier du tichodrome echelette (Tichodroma muraria) autour du château de Pau
Marie-Claude Mahieux, depuis sa classe située à proximité du château, découvrit un tichodrome voletant sur le mur d'une maison.
Nous avons donc suivi cet oiseau et entrepris une enquête auprès du conservateur et des gardiens du château Henri IV.
Le tichodrome est connu des certains gardiens, mais aussi du conservateur, Monsieur Coze, qui habite le château. Selon ce dernier, il fréquente les paroies de ses fenêtres, les gardiens le voit surtout sur la tour en brique "Gaston Phébus", sur toute la façade du château et de ses dépendances.
Nous l'avons aussi observé sur une autre tour, celle du Parlement située en face, d'ailleurs le concierge du Parlement de Navarre a eu plusieurs fois l'occasion de la voir sans connaître son nom, mais il trouvait jolies ses ailes rouges.
En fait l'oiseau fréquente de nombreuses paroies et de nombreux murs des maisons du quartier et cela quasiment chaque année, mais surtout pendant les périodes de forte neige en montagne. Jamais deux oiseaux n'auraient été vus ensemble à notre connaissance.
Ce qui est courant, c'est l'hivernage d'une vingtaine d'hirondelle de rocher (Hirundo rupestris), chaque année (Guyot 1992). Elle se posent sur le rebord des fenêtres des deux édifices cités.
L'hivernage a débuté vers le 15 novembre pour ce terminer aux alentours du 3 mai 1993. ce qui semble être une date tardive.
Nous tenons à remercier les gardiens pour avoir eu la gentillesse d'observer et de nous communiquer leurs observations.
Nous remercions Monsieur Coze pour nous avoir facilité ce travail.
Merci à toi, Marie-Claude Mahieux, qui voit tout sans jumelles.
Bibliographie:
- Yeatman - Berthelot (1991) : Atlas des oiseaux de france en hiver - S.O.F. Paris.
- Boutet J.Yves - Petit Pierre (1987) : Atlas des oiseaux nicheurs d'Aquitaine. C.R.O.A.P. Bordeaux.
- Guyot Andréas (1992) : Hivernage régulier de l'hirondelle de rocher à Pau - La Bergeronnette 10:3 M.J.C. du Laü Pau.
Andréas Guyot.
La Bergeronnette 16: 5-6 (1993) 4e trimestre.
samedi 30 octobre 1993
Observation d'une bécassine sourde (Lymnocrytes minimus) dans une lande humide.
J'ai déjà eu l'occasion d'avoir en main une bécassine sourde tuée par un chasseur dans un proche secteur de cette carte, avec les dimensions suivantes.
Poids 60 grammes - Adiposité 0.
Aile pliée 115 m/m - Bec 42,5 m/m - Tarse 28 m/m.
Tarce + doigt 58 m/m - Queue 57 m/m.
Formule alaire: 10 primaires, 10 secondaires, 4 tertiares, 12 rectrices.
Aspect: très brillant avec des reflets violets, vert et or.
Aile plus mate que le dos.
Les primaires sont arrondies
Les secondaires sont en ponte.
Les petites, moyenne et grandes couvertures se terminent par un liseré blanc, ainsi que sur les rectrices.
C'est donc la deuxième information sur ce secteur, nous n'avons pas fait d'enquête auprès des chasseurs afin de savoir si cette présence était courante.
Dans l'Atlas des oiseaux de France en hiver, il n'y a aucune mention pour le Béarn.
La première bécassine sourde a été tuée mi-février 1991, (carte 44 XVI)
La seconde a été observée vivante le 7 mars 1993 par deux fois, (carte 44 XV)
Je "remercie" le chasseur Maurice Estève et mes trois amis et membres de R.V.O. Duplaa Jo, Hourcq J.Jacques, Toutain Benjamin.
Bibliographie:
- Yeatman - Berthelot (1991) Atlas des oiseaux de France en Hiver - S.O.F. Paris
- Boutet J.Yves - Petit Pierre (1987) Atlas des oiseaux nicheurs d'Aquitaine - C.R.O.A.P. Bordeaux
- Géroudet Paul (1983) Limicoles, gangas et pigeons d'Europe - Delachaux et Niestlé - Neuchâtel, Paris - Tome 2.
Andréas Guyot
La Bergeronnette 16:3-4. (1993) 4e trimestre.
mercredi 20 octobre 1993
Nidification du Cincle plongeur (Cinclus cinclus) à la minoterie Marsan de Pau.
Cet hiver lors d'un comptage des grands cormorans, j'ai eu l'occasion de parler avec un ouvrier de la minoterie. Dans notre discussion sur les oiseaux, nous avons parlé du cincle. Si son nom lui était inconnu, à ma description, il m'a indiqué son site de nidification et son nid en mousse, situé sous la voûte et à la sortie des eaux de la minoterie.
Selon lui, l'oiseau a toujours niché à cet endroit, lui le connait depuis une trentaine d'année.
j'ai donc suivi le site et effectivement, même si je ne peux pas voir le nid, j'ai vu les vas et vient des oiseaux et cela ne laisse aucun doute sur la nidification d'un couple de cincle plongeur. Cela étend donc l'aire de nidification sur une nouvelle carte des oiseaux nicheur d'Aquitaine.
Bibliographie:
- Yeatman - Berthelot., (1991) Atlas des oiseaux nicheurs de France en hiver - S.O.F. Paris.
- Boutet J.Yves - Petit Pierre., (1987) Altals des oiseaux nicheurs d'Aquitaine - C.R.O.A.P, Bordeaux.
- Guyot Andréas., (1992) Distribution de l'hivernage du cincle plongeur sur le gave de Pau - La bergeronnette 11:4. M.J.C. du Laü Pau.
- Bonnet J. Claude., (1987) Essai de définition du statut actuel du cincle plongeur en Dordogne. Le Courbageot 12:27-32 C.R.O.A.P. Bordeaux.
Andréas Guyot.
La Bergeronnette: 16:1-2. (1993) 4e trimestre.