vendredi 10 janvier 2020

Le pipit farlouse et le pipit spioncelle continuent leur hivernage sur le marais de Biron.

Ref: Le Grand livre des oiseaux de France et d'Europe, 1977, Fernand Nathan.
Les Pipits farlouses se nourrissent d'invertébrés terrestres et, dans les marais, de tipules ou de larves. L'espèce n'est que partiellement migratrice dans le Sud de son aire d'extension. 
Pour le marais de Biron, c'est un hivernant.

Ref: Histoire des oiseaux d'Europe, 1971, Bordas, Page 307.
Pipit farlouse (Anthus pratensis). Ce pipit aime les zones humides. C'est l'espèce la plus commune dans la toundra. En Grande-Bretagne, il est aussi très abondant, tandis qu'en France l'analyse de Ferry a précisé sa préférence pour des zones côtières où l'isotherme de juillet ne dépasse pas 18°, avec des populations dispersées plus au sud dans les tourbières de montagne où il retrouve même la fraîcheur. 

Ref: Le grand livre des oiseaux de France et d'Europe, 1977, Fernand Nathan.
Le Pipit spioncelle niche est trouve sa subsistance dans les montagnes, il a été sérieusement étudié dans le Sud-Ouest de l'Angleterre, cet oiseau consomme un peu plus que son propre poids chaque jour sous la forme de limaçons et de larves de moucherons glanées dans la végétation. 
Pour le marais de Biron c'est un hivernant.

Ref: Atlas des oiseaux de France en Hiver, 1991, Société Ornithologique de France.
Dans les Pyrénées, ce pipit spioncelle transhume pour passer dans les fonds de vallée où il stationne dans les prairies naturelles hygrophiles et les tourbières, il est probable que des nicheurs pyrénéens passent l'hiver beaucoup plus loin que dans les piémonts de la chaîne. L'Aquitaine pourrait être une zone d'hivernage particulièrement importante. 

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Autres observations: 6 grande aigrette, 1 faucon pèlerin, 2 chevalier guignette, 

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